Simoes Pereira, candidat malheureux des électionsA LA UNE AFRIQUE 

Guinée-Bissau: La cour suprême va-t-elle encourager, M. Domingos Simoes, le perdant des élections de décembre 2019, à bloquer son pays?

Ce qui se passe en Guinée-Bissau politiquement, sort de l’imaginaire humain, car le perdant des élections de décembre 2019, M. Simoes Domingos Pereira, a du mal à digérer sa défaite et fait courir des risques à son pays, pour retarder son évolution.

La Cour Suprême prendra t-elle position pour Domingos Simoes et mettra le pays en danger ?

Il vient de saisir encore la cour suprême de son pays pour relancer le décomptage des voix et au demeurant, faire annuler les résultats des élections présidentielles qui se sont déroulées depuis le mois de décembre 2019, la cour va délibérer le lundi 15 juin 20.

Pendant que le président Embalo est entrain de se battre pour rehausser l’image ternie par tant d’années au pouvoir par son parti politique, qui avait fait de son pays, la plate tournante des narco trafiquants où la drogue coulait à flot, M. Domingos Pereira Simoes, continue de salir son pays dont il est conscient du rôle joué par son parti le PAIGC dans ses basses manœuvres qui ne l’honorent pas et dans lesquelles, il persiste négativement.

Nous sommes à plus de 7 mois que les élections qui se sont déroulées et dont les résultats, ont fait le tour de la sous-région au point où de par sa courte vue politique, occasionné les grands médias étrangers à prendre faussement le mauvais chemin pour torpiller le nouveau président élu, en la personne du président Sissoco Umaro Embalo.

Un petit pays et un fort taux chômage

Pour un si jeune pays qui n’a pas même pas encore plus de 2. 000 000 d’habitants et dont la jeunesse croule sous le poids d’un chômage chronique, livrée à la consommation des stupéfiants, depuis plus de 47 ans d’indépendance, il n’arrive pas à se stabiliser pour donner cet espoir de vivre à sa population, pour Simoes Domingos, tant qu’il n’est pas président de ce pays, alors tout doit s’arrêter.

Pour y parvenir, il avait envoyé le chef de la milice tribale « Anguenta », M. Marciano Indi, se muer en acteur comique s’esclaffer devant les médias, s’être fait bastonner par le pouvoir bissau-guinéen. Pendant ce temps, les reformes républicaines sont à toiletter et remettre au goût du jour. Maintenant, comme si cela ne suffisait pas, il oblige la cour de justice de son pays, à se désolidariser de la décision de la CEDEAO.

Combien de fois, faut-il retomber et pendant combien de temps, il faut s’occuper du réel ? Faut-il attendre que la fin de cette cabale finisse avant que le président Umaro Embalo, élu pour 5 ans, ne se mette au travail ? Le voilà qui, à force de vouloir se montrer démocrate, il se fait traîner dans la boue parce que justement, M. Domingos Simoes veut coûte que coûte devenir président de la république et battu par son peuple, il veut en découdre en se servant de tous les appuis possibles. Qui sont derrière M. Domingos Simoes ?

Qui encourage Domingos Simoes ?

C’est vrai que ce dernier prétend avoir l’appui de l’Angola et du Portugal, pays colonisateur qui n’a pas vu venir, le Général Embalo Umaro au perchoir et qui échappe à leur contrôle, dont sa victoire a surpris, mais, l’Afrique, n’a plus ce temps où elle doit recevoir des ordres pour se relancer.

Il est impérieux que la CEDEAO prenne ses responsabilités, d’abord pour mettre fin à ce tohu-bohu et permettre au président élu de mettre en application, le projet pour lequel il a sollicité le suffrage de ses compatriotes et qui ne vont pas comprendre que le comportement antidémocratique de M. Domingos Simoes a empiété et rétréci son mandat.

Nous attendons tous le verdict de la cour suprême en début de cette semaine, pour voir si cette cour est pour le développement de la Guinée-Bissau ou pas.

Mais il faut reconnaître que ce sont certains africains qui noircissent l’image de ce beau continent. C’est encore, certains intellectuels africains qui bloquent le développement de l’Afrique, l’exemple est patent et c’est bien le cas du perdant des élections dans son pays, M. Domingos Pereira Simoes, qui montre sa dangerosité pour le développement de son propre pays. Il faut laisser le président Embalo, appliquer son programme de société pour faire la différence.  

Il faut que ces manœuvres démoniaques et antidémocratiques cessent, qui tirent l’Afrique vers le bas et elle est fatiguée de voir ses propres enfants noirs se faire assassiner, parce que politiquement rien ne va, la raison principale de la fuite des cerveaux et des bras valides des jeunes africains, vers des faux eldorados en allant mourir sur les eaux et se font tuer dans les pays arabes. Il faut que ces comportements cessent, M. Domingos Simoes.

                                                             Joël ETTIEN

              Directeur de publication : businessactuality.com

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